Quiz"Tubes internationaux de l'année 1985" créé le 12-01-2011 par maxwell avec le générateur de tests - créez votre propre test ! [ Plus de cours et d'exercices de maxwell] Voir les statistiques de réussite de ce test de culture générale 'Tubes internationaux de l'année 1985'.

traduction en françaisfrançais/anglais A A Quand la pluie se mettra Ă  tomber Si le sable peut filer entre tes doigts, les jours le peuvent aussi Quand les jours fileront je serai lĂ  pour t'aider Ă  trouver ton chemin Je sais que je me sentirai toujours aussi bien aver toi Et quand la pluie se mettra Ă  tomber Tu monteras sur mon arc-en-ciel Et je rattraperai si tu tombes Tu n'auras pas besoin de me demander pourquoi Et quand la pluie se mettra Ă  tomber je serai le soleil de ta vie Tu sais qu'on pourra le faire et tout ira temps passe si vite Il faut avoir un rĂȘve Pour tenir le coup. Tous mes rĂȘves d'amour ont commencĂ© Avec ta rĂ©alitĂ©. Toi et moi on croit Que nos rĂȘves sont Ă©ternels Et quand la pluie se mettra Ă  tomber Tu monteras sur mon arc-en-ciel Et je rattraperai si tu tombes Tu n'auras pas besoin de me demander pourquoi Et quand la pluie se mettra Ă  tomber je serai le soleil de ta vie Tu sais qu'on pourra le faire et tout ira si le soleil peut se cacher On peut toujours voir La lumiĂšre qui brille pour toi et moiEnsemble on sera plus fort Et quand la pluie se mettra Ă  tomber Tu monteras sur mon arc-en-ciel Et je rattraperai si tu tombes Tu n'auras pas besoin de me demander pourquoi Et quand la pluie se mettra Ă  tomber je serai le soleil de ta vie Tu sais qu'on pourra le faire et tout ira quand la pluie se mettra Ă  tomber Tu monteras sur mon arc-en-ciel Et je rattraperai si tu tombes Tu n'auras pas besoin de me demander pourquoi Et quand la pluie se mettra Ă  tomber je serai le soleil de ta vie Tu sais qu'on pourra le faire et tout ira bien. When the Rain Begins to Fall

Do you know Jermaine Jackson ? When the rain begins to fall, you’ll ride my rainbow in the sky ». Tout ça pour finir dans une boĂźte Ă  ciel ouvert, oĂč Erwan mettra grandement en colĂšre Mika pour une sombre histoire d’heures de traduction impayĂ©es. Retour au lever du jour pour les plus vaillants qui le seront nettement moins dans
© Fred_Beltran THe BiG BeeB 
.. Pfiou ! C’est Nouyel dans quinze jours. Alors, comme tous les ans, une petite sĂ©lection de chansons dĂ©diĂ©es Ă  cette pĂ©riode oĂč finalement il ne se passe rien, parce que le PĂšre Nouyel, il refuse toujours de jouer au torero. SĂ©lection mitonnĂ©e aux p’tits oignons par moi-mĂȘme que mĂȘme j’ai fait des trouvailles que je vous dis pas. Au programme, rien moins que Jim Reeves, Louis Jordan, The Tractors, BB King, Sonny James, Perry Como, Art Carney, Dolly Parton, & Kenny Rogers, Band Aid, Woody Herman, John Greer, The Ramones, Korn, Jona Lewis, The Damned, Slade, Otis Redding, AC/DC, Imelda May, Captain Beefheart, Frank Sinatra, Buck Owens, Joe Tex, Los Lobos, Bill Haley, John Lee Hooker, Samba, The Gogo’s, Brenda Lee, Alice Cooper, Lon Chaney Jr., The Pogues, John Denver, Cocteau Twins, Vanilla Fudge, Buck Owens, Charlie Stewart, The Sonics, JD McPherson 
. y’a vraiment de quoi se dynamiter façon peuzeule, s’exploser la tronche, s’éclater de rire, j’en passe et des meilleures *. MeRRy aXeMaS – SLeiGHT BeLLS ReTuRN 2015 Pour lire ce fabuleux c’est le bon mot, fabuleux, c’est mĂȘme hyper-rĂ©aliste programme en alĂ©atoire, il faut cliquer sur “normal” dans le lecteur. Alors, miracle de Nouyel, “random” alĂ©atoire en anglais apparaĂźt. Étonnant, non ? Comme c’est la saison des cadeaux, cette annĂ©e on sort le grand jeu. Y’a un film aussi, sorti en 1964, en pleine guerre froide. Santa Claus Conquers The Martians connu aussi sous le titre Santa Claus Defeats The Martians. Le film, c’est pour le cas oĂč le widget du dessus planterait, ce qui serait indubitablement la faute aux martiens, ceux qui ont des passoires sur la tĂȘte et des antennes d’escargots sur la passoire. C’est pour mieux communiquer. Dans ce nanar, Santa Claus – le gros en redingote rouge, qu’on dirait jamais rasĂ©, mais la barbe blanche c’est tout du coton hydrophile de chez Carrouf’ – a un toc dans la hotte Ă  cervelet il yohotte. Il est rongĂ© par la yohottite aiguĂ« chronique. C’est irrĂ©versible et pas rĂ©parable, mĂȘme avec un mĂ©lange Doliprane-Viagra. En dĂ©pit de cet insupportable handicap, il est enlevĂ© par les martiens parce que sur Mars, c’est mal barrĂ©, y’a pas de PĂšre Nouyel pour refourguer des jouets fabriquĂ©s par des p’tits tinois aux ch’tits marmots martiens que c’est trop l’horrible horreur pour eux, horrifiĂ©s de ne pas avoir de gentil Papa Coca-Cola sur Mars comme y’en a dans les cheminĂ©es du Texas, lĂ  oĂč il y a des tronçonneuses qui massacrent Ă  la chaine, sots. Et ça, c’est pas jusse ! * Et puis dans The Big BeeB Canned Heat & The Chipmunks, Johnny Desmond, Suzy Bogguss, Brenda Lee, The Vandals, Shotgun, The Ronettes, Jack Scott, Tom Waits, The Ravens, Wanda Jackson, The Continentals, Little Joey Farr, The Dickies, Bad Manners, Yogi Yorgesson, UK Subs, Terry Fell & The Fellers, Brian Setzer, Joe Satriani, Gene Autry, The Business, Joe Diffie, Charlie Stewart, Bob Marley, Leon Redbone, Frank Como, Dana Dane, Darlene Love, Eminem, Dale Watson, The Frantic Flintstones, Charlie Brown, Pete Rugolo, Butthole Surfers, Bobby Womack, Alan Jackson, The Wilderbeests, Big Bad Voodoo Daddy, Cliff Richard, Eddie C. Campbell, The Cameos. J’ai coupĂ© ces noms, de peur que l’on m’accuse de faire du name-dropping. Y paraĂźt que c’est mal ! Et moi les forces du mal, brrrrrrr ! OuĂšche ! Professor BeeB HĂŽPĂŽ

83it can easily be destroyed in the first heavy rain; 84 triumphs and tragedies; 85 magazines and circulars; 86 avoid any unnecessary stresses. 87 rewards; 88 the manufacturer has denied this; 89 or use the card for any other purpose; 90 or store your sports equipment there; 91 but it is certainly not my background. For me; 92 if you can

Testo e traduzione della canzone Pia Zadora - When The Rain Begins To Fall With Jermaine Jackson Tutti Originale Traduzione Like the sand can seep right through your fingers so can all your dayCome la sabbia possono penetrare a destra attraverso le dita in modo puĂČ tutto la giornataAs those days go by you'll have me there to help you find the quei giorni passano tu mi hai lĂŹ per aiutarvi a trovare la way I feel with you I know it's got to last modo in cui mi sento con te So che ha avuto modo di durare per when the rain begins to fallE quando la pioggia inizia a cadereYou'll ride my rainbow in the skyPotrai guidare la mia arcobaleno nel cieloAnd I will catch you if you fallE ti prenderĂČ se cadiYou'll never have to ask me dovrete mai di chiedermi when the rain begins to fall I'll be the sunshine in your lifeE quando la pioggia comincia a cadere SarĂČ il sole nella tua vitaYou know that we can have it all and everything will be che possiamo avere tutto e tutto sarĂ  goes by so fastIl tempo passa cosĂŹ in frettaYou've got to have a dreamHai avuto modo di avere un sognoTo just hold mettere in attesa solo my dreams oflove beganTutti i miei sogni oflove iniziatoWith the reality of la realtĂ  di and I believeTu e io credoThat all our dreams will last tutti i nostri sogni durerĂ  per when the rain begins to fallE quando la pioggia inizia a cadere. . .. . .Though the sun may hideAnche se il sole puĂČ nascondereWe still can seeSiamo ancora in grado di vedereThe light that shines for you and meLa luce che splende per te e per meWe'll be together all that we can insieme tutto ciĂČ che possiamo when the rain begins to fallE quando la pioggia inizia a cadere. . .. . .And when the rain begins to fallE quando la pioggia inizia a cadere Tradotto da Anonimo Aggiungi / modifica traduzione Email
JermaineJackson a publié une nouvelle chanson intitulée 'When The Rain Begins To Fall' tirée de l'album 'Jermaine Jackson' et nous sommes ravis de vous montrer les paroles et la. L'album se compose de 8 chansons. Vous pouvez cliquer sur les chansons pour visualiser les respectifs paroles et. Voici quelques succÚs chantés par .
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Date de naissance Le 11 DĂ©cembre 1954 Ă  Gary, États-Unis Quel Ăąge a Jermaine Jackson ? 67 ans Genre R&B, R&B contemporain, Disco, Quiet Storm, Soul Membre du groupe The Jackson 5

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A la vue des Ă©vĂ©nements et de ce que m’évoque ce trip, j’ai dĂ©cidĂ© de donner un titre Ă  ce rĂ©cit When the Rain Begins to Fall » en rĂ©fĂ©rence au titre de Pia Zadora, Jermaine Jackson.A propos de moi Homme, 1m86, environ 70kg, aucune tolĂ©rance au LSD au moment de la prise, pas de prise mĂ©dicamenteuse 200ug est une dose importante/trĂšs importante. Ce trip report ne doit en aucun cas servir de rĂ©fĂ©rence Ă  une prise de LSD, particuliĂšrement chez un utilisateur non initiĂ© aux psychĂ©dĂ©liques. Bonne lecture, et merci Ă  ceux qui iront jusqu’au bout. Tous les feedbacks sont grandement apprĂ©ciĂ©s. La consommation de psychĂ©dĂ©liques, mĂȘme rĂ©crĂ©ativement, doit faire l’objet d’une rĂ©flexion prĂ©liminaire. Vis-Ă -vis de vous, et de ce qui vous entoure. -Je n’apprends rien Ă  ceux qui maitrisent le set and settings-Ce trip fut une expĂ©rience marquante, et pour le moment assurĂ©ment le plus intense que j’ai vĂ©cu !Set and Settings Cela faisait plusieurs semaines qu’avec mon pote on l’appellera ici Dupont nous souhaitions consommer du LSD. Par mesure de fiabilitĂ© et de sĂ©curitĂ©, j’ai achetĂ© du 1P-LSD sur la branche europĂ©enne des chemicals fumĂ©es » La possession de ce dernier le 1P-LSD a l’avantage d’ĂȘtre lĂ©gale en France. Jusqu’à ce qu’il soit mĂ©tabolisĂ© par le corps en LSD, les consommateurs sont en parfaite lĂ©galitĂ©. C’est ce que l’on appelle communĂ©ment un prodrug. Les buvards Ă©taient de 100ug chacun. Nous avons choisi un jour de semaine oĂč il faisait un beau temps avec une tempĂ©rature sympa. On a planifiĂ© de se poser dans un grand parc -dont je tairai ici le nom, car des parcs dans des grandes villes en France il n’y en a pas des 10aines-, oĂč il y a suffisamment de place pour avoir un espace confort rien que pour nous, oĂč l’on pourrait mettre de la musique sans dĂ©ranger personne, et surtout un Jeudi aprĂšs-midi en pleine semaine pas de gosse pour shooter un peu trop fort dans son ballon qui arrive vers matin mĂȘme je n’avais pas beaucoup dormi environ 5h la nuit en question, et je dormais mal depuis 4j avant le trip environ 20h sur les 4 nuits prĂ©cĂ©dentes. NĂ©anmoins, je mettais levĂ© du bon pied, et j’avais le moral. Je suis normalement sous MPH, mais pour l’occasion j’avais stoppĂ© la prise de tout mĂ©doc 1semaine Ă  l’avance. Le matin mĂȘme j’avais pris du ThrĂ©onate de MagnĂ©sium dans les doses recommandĂ©es, et de la Tyrosine. Je me fais une petite cure de 15j, qui n’a rien Ă  voir avec le trip ! Dupont n’avait pas beaucoup dormi non plus. Il avait fait la fĂȘte la veille, et consommĂ© 1 taz de MD, mais il avait bonne mine le matin mĂȘme !On se rejoint vers midi en ville, histoire d’aller bouffer un tacos, avec des potes de Dupont afin de ne pas partir le ventre vide. Moi je prends un bon tacos, histoire de me caler l’estomac. Dupont de son cĂŽtĂ© n’a pas trĂšs faim, il mange seulement quelques frites. Pendant le repas, je prends un TUMS et j’en file un Ă  Dupont pour la digestion -on ne va pas se mentir, un tacos sauce samouraĂŻ ce n’est pas ce qu’il y a de plus digeste- -rien dans l’optique d’optimiser le trip avec le TUMS, c’est surtout histoire de limiter les Ă©ventuels maux de ventre-. On discute avec ses potes, et on se prĂ©pare pour aller au nous devions ĂȘtre 4 Dupont, moi, et 2 sitters qui ne consomment pas de psychĂ©s. Cependant au tacos, ses potes nous disent qu’ils souhaitent venir avec nous. On devait ĂȘtre 4, nous serons finalement 7. J’ai conscience qu’ĂȘtre trop nombreux ne vas pas ĂȘtre l’idĂ©al pour le set and setting, mais je me fais plus de soucis pour Dupont que pour moi, ce sont des amis en qui il a entiĂšrement confiance, donc je n’y vois pas trop d’inconvĂ©nients. Vous verrez par la suite que le fait d’ĂȘtre 7 n’étais pas forcĂ©ment Ă  posteriori une mauvaise chose A dĂ©faut d’avoir des Xanax sous la main, on dĂ©cide de passer prendre un RosĂ©, pour si nĂ©cessaire, avoir un killtrip. L’idĂ©e est d’avoir un truc qui se boit facilement si jamais on a besoin de redescendre. Il fait chaud, donc on prend Ă©galement deux bouteilles d’eau afin de s’hydrater. Nous partons Ă  pied au parc avec Dupont. Ses potes doivent nous y rejoindre 1h plus tard, ils passent chercher un cut pour dĂ©couper des buvards, de la Tequila pour eux, et du et dĂ©but du Trip Il est aux alentours de 14h, on s’est posĂ© sur un coin oĂč l’herbe est un peu aplatie, Ă  l’ombre, sous des arbres de taille moyenne. Face Ă  nous se tiennent de trĂšs grands arbres qui surplombent tout le sentier oĂč circulent les passants dans le parc. On cut un buvard, en 2. On prend chacun une moitiĂ© du toncar ~ 50ug chacun, puis on dĂ©clenche un chrono. On se pose avec de la musique New-Age pour entamer le trip de la maniĂšre la plus dĂ©tente qui soit. On attend 1h, ses potes nous rejoignent, mais nous ne sommes pas montĂ©s du tout, aucun effet ressenti. On dĂ©cide de reprendre 50ug -de toute façon on avait prĂ©vu de consommer entre 100 et 200ug au total-. L’ambiance est posĂ©e, ses potes sont trĂšs curieux, ils nous posent des questions sur ce qui est possible et pas possible sous L, ce que l’on recherche avec ce genre de pratique etc
 H+1h20Je ne ressens toujours aucun effet, je commence Ă  me demander si je ne suis pas fait carotte, ce qui me semble presque impossible connaissant la fiabilitĂ© du site dont viennent les buvards. Cependant, Dupont commence Ă  ressentir les premiers effets. Il se sent bien, on dĂ©cide de prendre 50ug de plus Ă  H+1h30. Moi je commence Ă  trouver ça un peu relou, mais j’avais en tĂȘte d’avoir tout de mĂȘme bouffĂ© un bon commence Ă  monter. -Youpi je ne me suis pas fait carotte x ! - Les couleurs se font un peu plus vives. Dupont, est Ă©merveillĂ© par sa montĂ©e, il est euphorique et communicatif avec ses dĂ©cide de changer le type de musique, on passe du New Age Ă  des Symphonies. Mais attention, pas n’importe lesquelles ! J’avais pris le soin au prĂ©alable, d’en prendre des joyeuses, et entrainantes. Celle dont la pulsation ferait taire n’importe quel nouveau-nĂ©, tellement les accords de la composition sonnent justes !H+2hLe panorama commence Ă  ĂȘtre splendide, le contraste et la profondeur du paysage augmentent. J’ai l’impression d’avoir mon angle de vue lĂ©gĂšrement plus panoramique. J’arrive Ă  situer et ressentir parfaitement mes bras lorsqu’ils sont collĂ©s Ă  mon corps. Par instant je contemple bĂȘtement le mouvement de mes mains, tant la sensation est agrĂ©able. Je dĂ©cide, de redrop les derniers 50ug, que j’accompagne d’une petite prise de poppers histoire d’ĂȘtre vraiment dĂ©tendu au max. Je range les buvards, je ne prendrais pas plus de suis bouche bĂ©e devant les arbres qui trĂŽnent face Ă  moi. Ils sont majestueux et leur feuillage vert semble presque luire de clartĂ©. Les couleurs et le contraste sont magnifiques. La rĂ©solution de ce que je perçois semble dĂ©cuplĂ©e, comme si j’observais tout ce qui m’entoure en 8K. J’avais jusqu’à cette instant mes lunettes sur mes yeux je suis lĂ©gĂšrement myope et astigmate. Lorsque je soulevais mes lunettes en regardant au loin, je ne voyais presque aucune diffĂ©rence. Les verres de mes lunettes me donnaient seulement l’impression d’avoir un double vitrage devant les yeux, qui grise trĂšs lĂ©gĂšrement les couleurs. C’était intriguant !Cela ressemblait un peu Ă  ça, mais les arbres Ă©taient beaucoup plus massifs, et les couleurs bien plus verdoyantes nous sommes Ă  quelques jours de l’étĂ©. Comme vous pouvez vous en doutez, le vĂ©cu est toujours plus remarquable que l’aperçu que vous pouvez en avoir. Pas d’hallucinations Ă  proprement parlĂ©, dans le sens Ă©tymologique du terme Vision, perception ou sensation qui ne correspond Ă  aucun objet rĂ©el. », aucun objet ne se matĂ©rialise suite Ă  une demande directe de ma conscience. Pas de visions d’hallucination totale, comme avec de la Salvia par exemple. -Par ailleurs je ne sais pas qui a dĂ©jĂ  eu la chance d’observer un Mandelbrot ou quelque chose du style sous LSD je dis bien sous LSD, pas sous DMT ou autre, mais je suppose que la dose doit ĂȘtre extrĂȘmement forte, car mĂȘme ici avec 200ug j’étais trĂšs loin de ça-. NĂ©anmoins, des dĂ©formations remarquablement artistiques se promĂšnent devant mes pupilles.Aperçu de la figure MathĂ©matiques de ce qu’est un Mandelbrot pour ceux Ă  qui ça n’évoque rienJ’en suis encore Ă  un stade oĂč ma conscience est apte Ă  rĂ©pondre au monde extĂ©rieur -histoire de voir comment Dupont vis son trip, rĂ©pondre Ă  quelques questions de ses potes, vĂ©rifier que personne au loin ne nous regarde bizarrement-, presque sur commande, je peux me plonger dans des introspections, avec une clartĂ© d’esprit trĂšs pure. Les flux de pensĂ©es, qui dissolvent petit Ă  petit mon Ă©go commencent Ă  Ă©merger. Moi qui ne souhaitais pas y toucher, j’use de mon tĂ©lĂ©phone pour faire la transition entre les sollicitations extĂ©rieures et le saut de l’ange dans mes introspections. Cela se dĂ©roule comme suit Je suis sollicitĂ©, je m’assure que tout va bien, je regarde le background de mon tĂ©lĂ©phone pendant 5-10sec, puis je regarde au loin et je me retrouve plongĂ© dans des introspections. -J’utilise le terme flux de pensĂ©es plutĂŽt que boucle, puisque Ă  chaque introspection j’avais un regard novateur et diffĂ©rent sur tout ce qui m’entourait Ă  l’instant T- Aperçu du background du tel. Les projections de mon ego sur le passĂ© et le futur se sont tues et j’apprĂ©cie pleinement l’instant prĂ©sent. Moi qui suis un individu trĂšs investi professionnellement et socialement dans ce que je fais, je me sens presque libĂ©rĂ© des comptes et des devoirs moraux auxquels ma conscience m’oblige en temps normal. Je ne vis Ă  cet instant que pour moi, pas de comptes Ă  rendre Ă  autrui. Cependant je pense qu’il est faux de dire que ce sentiment se manifeste avec une visĂ©e Ă©gocentrique, puisque j’ai l’impression en vivant mieux l’instant prĂ©sent de contribuer au bien-ĂȘtre de quelque chose de plus grand, quelque chose qui me dĂ©passe, et que je suis incapable de conceptualiser ou thĂ©oriser, mais que j’identifie comme l’interdĂ©pendance subjective de tous les gens qui passent presque quotidiennement ici et font vivre ce lieu, ou l’impactent indirectement. Cette interdĂ©pendance est certes subjective, mais elle m’apparait immuable Ă  l’échelle d’une vie humaine. Je suis fascinĂ© par ce raisonnement qui ne m’est pas totalement Ă©tranger. -Peut-ĂȘtre l’avais-je dĂ©jĂ  approchĂ© lors d’un rĂȘve ? –Dupont de son cĂŽtĂ© est trĂšs excitĂ© il est extrĂȘmement communicatif et essaye de partager un maximum son expĂ©rience avec ses potes, qui ont du mal Ă  le suivre. Je vois par instant que les choses doivent aller Ă  une vitesse fulgurante dans sa tĂȘte. Il dit arriver Ă  apercevoir des motifs de fractal qui apparaissent spontanĂ©ment puis disparaissent, tout cela avec l’omniprĂ©sence d’un filtre colorĂ© sur sa vue. A un moment il reçoit un appel de sa tante, il est tellement bien qu’il lui dit ĂȘtre au parc sous LSD dans le plus grand des calmes. Plateau Part I H +3hLorsque je contemple le ciel, des motifs de traits blancs se dessinent et s’organisent gĂ©omĂ©triquement telles des tuiles de pavage vivantes. Cela donne l’impression que les objets mathĂ©matiques que sont les symĂ©tries et les rotations s’appliquaient et agissaient comme des gardiens de la cohĂ©rence de ce qui surplombe nos ĂȘtres en permanence. C’est alors que dans la playlist, s’enclenche une symphonie de Vivaldi. La partie Presto de l’étĂ© le titre exact du son est le suivant The Four Seasons - Violin Concerto in G Minor, Op. 8, No. 2, RV 315 "L'estate" III. Presto » le lien suit Un des potes du Dupont, me demande si c’est bien du Vivaldi, j’acquiesce. Je replonge dans mes pensĂ©es, cette musique ne ma jamais semblĂ©e aussi belle. Elle s’accorde Ă  merveille avec l’environnement. Bien que cela soit une piste compressĂ©e au format OGG Ă  moins de 320kbps je peux lire tous les dĂ©tails de la symphonie comme dans un livre ouvert. Lors du passage Ă  partir de 46 secondes, je peux ressentir l’énergie dĂ©ployĂ©e par tout l’orchestre pour permettre Ă  ce chef-d’Ɠuvre de rĂ©sonner depuis maintenant prĂšs de 300ans 1723 est la date de la composition originelle si ma mĂ©moire ne me fait pas dĂ©faut. Je ressens sans effort le mouvement de bras des violonistes, il s’excite entre les cordes et la touche composantes d’un violon, comme s’il insufflait la vie Ă  tout ce bois. Inconsciemment, je pense avoir accordĂ© ma respiration avec celle de la musique et la danse des arbres que le vent faisait alors frissonner. Ce que je visualisais Ă©tait purement extraordinaire, lorsque j’inspirais, des fleurs apparaissaient au bout des branches. Des bouquets entiers de cosmos type de fleur apparaissaient Ă  l’extrĂ©mitĂ© des branches. Des lors que j’expirais, les pĂ©tales des fleurs diminuaient, nĂ©anmoins il subsistait la tige, tout n’était pas redevenu comme avant. Par consĂ©quent au bout de 3 Ă  4 respirations, la croissance de ces fleurs que je voyais au loin Ă©tait exponentielle, et leur densitĂ© dans mon champ de vision Ă©tait devenu non ce moment-lĂ  je ne sais plus dire exactement pourquoi, mais je suis sorti de ce flux de pensĂ©e, certainement une sollicitation de l’extĂ©rieur. La musique suivante s’enchaĂźne The Ecstasy of Gold d’Ennio Morricone », me voilĂ  reparti dans un bon gros mood verdoyant ! Je me mets alors Ă  ouvrir les notes de mon tĂ©lĂ©phone sans trop savoir pourquoi et Ă  y Ă©crire. Voici des extraits des quelques notes qui ont accompagnĂ© ce moment attention ça n’a pas forcĂ©ment de sens, gardez Ă  l’esprit que j’étais sous 200ugLes morceaux entre parenthĂšses sont des ajouts aprĂšs relecture, ils servent Ă  faciliter la comprĂ©hension de ceux Ă  quoi j’ai pu penser. Il faudra faire plus qu’en discuter pour convaincre les autres, il y a quelque chose de plus profond », Le fait est qu’initialement on est qu’un emplacement dans le systĂšme de coordonnĂ©es de nos contacts comprendre ici notre entourage, les individus qui nous entoure, dans la reprĂ©sentation qu’ils se font de nous », Maintenant je te laisse faire ton chemin, mais les choses ne sont pas si simples, il faut y mettre le temps et l’investissement nĂ©cessaire. Dans l’expĂ©rience psychĂ©dĂ©liques On y trouve chacun les rĂ©ponses que nous sommes venus chercher. Comme si cela Ă©chappait au travail de la rĂ©flexion que l’on doit faire sur chaque Ă©preuve et passage de la vie » Je suis trop perchĂ© pour concrĂ©tiser une pensĂ©e, mais je n’ai de compte Ă  rendre Ă  personne, j’ai un sentiment, quelque chose que je ne peux dĂ©crire. Comme si je devais revenir de ce voyage avec l’obligation d’un souvenir, quelque chose Ă  prouver. Alors que je peux vivre juste avec moi-mĂȘme » Personne, mĂȘme les expĂ©rimentĂ©s n’ont le contrĂŽle sur ce chose insaisissable qu’est la premiĂšre expĂ©rience la dĂ©couverte des plus jeunes. L’ineffable, on ne peut que le ressentir, mais d’une maniĂšre ou d’une autre, il finit rĂ©duit Ă  quelques caractĂšres SMS je pense que je me voyais entrain d’écrire Ă  ce moment-lĂ , plutĂŽt qu’à la majestueuse encre et Ă  la plume qui ne sont mĂȘme pas digne de travailler sur l’ineffable. MĂȘme dans cette rĂ©alitĂ©-lĂ , je n’ai pas le contrĂŽle pour exprimer les choses que je ressens. Pas assez pour les matĂ©rialiser, pour laisser courir librement ce flot d’enthousiasme, cette bonne nouvelle Le temps d’une vie est inexorablement long et bon »Ce dernier est toutefois assaisonnĂ© de rĂ©flexions moins plaisantes mais qui mĂ©ritent d’ĂȘtre citĂ©es. Lorsque j’ai pris un instant pour me tourner vers les autres, j’ai vu que Dupont n’était pas dans son meilleur moment non plus. Il Ă©tait en quĂȘte d’une sensation vĂ©cue quelques minutes avant, il a dit ça a disparu, il faut que je le revoie ou que je le retrouve, un truc du style. » Il Ă©tait Ă©galement un peu inquiet pour sa tante, je lui dis tu lui diras que tu Ă©tais bourrĂ©, ça passe tranquille ».Tout n’était pas rose bonbon. Cela demandait, une maĂźtrise de ses Ă©tats d’ñmes si tentĂ© qu’il en existe une et des moments de recentrement afin de ne pas m’engager sur la longue pente d’un bad trip. Un peu Ă  la maniĂšre de Gainsbourg, je pense que ce qui dĂ©finit le mieux ce passage n’est autre que Fuir le bonheur de peur qu’il ne se sauve. Je n’ai pas de problĂšme, je ne viens
 j’ai perdu la fin de la phrase en plein milieu de ma pensĂ©e » Je me sens recentrĂ© sur moi, alors que j’étais venu y chercher une expĂ©rience d’au-delĂ . Cela devait ĂȘtre un trip entre nous, et finalement cela a plutĂŽt servi Ă  divertir ses copains ceux de Dupont » Je me sens casi coupable d’utiliser une feuille de maths comme une bĂȘte feuille A4, comme refuge pour mes pensĂ©es, je veux laisser croire que j’ai mieux que ça Ă  laisser transparaĂźtre au fond de moi »J’en viens Ă  repenser Ă  une expĂ©rience psychĂ©dĂ©lique, que j’avais lu ou entendu. Un homme qui disait qu’au quotidien les psychĂ©dĂ©liques ont certainement influencĂ© un peu son mode de vie, comme le fait d’ĂȘtre moins attachĂ© au matĂ©riel. Je ne sais pourquoi mais sur le moment cette pensĂ©e ma agacĂ©, presque outrĂ©. Comment peut-on rĂ©duire quelque chose d’aussi grand et puissant Ă  une lĂ©gĂšre mise en retrait du matĂ©rialisme me suis-je demandĂ© ?J’ai inspirĂ© profondĂ©ment, levĂ© la tĂȘte vers les arbres, qui ont accompagnĂ© le dĂ©but de mon voyage, et j’ai Ă©tĂ© soudain envahi d’un sentiment d’abnĂ©gation. L’ineffable bien-sĂ»r ! Pourquoi n’y ai-je pas pensĂ© plus tĂŽt ? Je sais moi-mĂȘme Ă  quel point il est difficile de rapporter ne serait-ce qu’une Ă©bauche de ce genre de voyage pour sois mĂȘme, alors rĂ©ussir Ă  faire sa communication aux autres est mission impossible. Mets-toi Ă  sa place ! Aurais-je fait mieux que lui ? J’ai repris une respiration, et j’ai rĂ©alisĂ© qu’en fait, cela m’importait peu. J’étais entrain de me perdre dans une projection du passĂ© l’histoire de l’homme qui parlait du matĂ©rialisme dans sa vie qui Ă©ventuellement allait influencer une projection future j’allais m’énerver pour quelque chose qui n’en vaut pas la peine et qui plus est ridicule, alors que tous les Ă©lĂ©ments Ă©taient rĂ©unis pour apprĂ©cier l’instant prĂ©sent. H+4hJ’ai alors dĂ©cidĂ© de changer de musique, et de passer Ă  des OST sans paroles d’un anime que je regardais lorsque j’étais petit et qui a bercĂ© mon enfance Les CitĂ©s d’Or. Cela m’a complĂ©tement transportĂ©. TrĂšs progressivement les couleurs que j’observais se sont accentuĂ©es, un peu Ă  l’image de la cover de la musique, chaudes et envoutantes. A la maniĂšre du synthĂ© entre 2 Ă  4 secondes, je partais loin, Ă  l’aventure, sur un rythme soutenu, qui m’emmenait vers des pensĂ©es nouvelles et transcendantes. Bon sang ! Qu’est ce que la musique Ă©tait agrĂ©able. J’avais le ressenti que la vĂ©gĂ©tation s’animait autour de moi sur les accords du synthĂ©. La synesthĂ©sie induite par les psychĂ©dĂ©liques faisait son apparition, je trouvais la musique succulente, dĂ©lectable ! -Ce n’était pas trĂšs prononcĂ©, mais assez pour que je le pu repartir dans un flux de pensĂ©es agrĂ©ables, j’éprouvais de la sympathie pour cet environnement qui s’accordait en phase avec moi, ou bien Ă©tait-ce l’inverse ? J’ai eu le souvenir d’aller vers quelque chose que je connaissais quelque chose qui m’était familier, le pressentiment de pouvoir saisir l’intouchable. J’ai produit sur mon tĂ©lĂ©phone les notes suivantes La vĂ©gĂ©tation scintille comme un clavier mĂ©canique avec l’option chroma et les couleurs rainbow. Je me sens ĂȘtre presque au-dessus de mon corps, cette vague odeur une impression que je connais. Surtout quand la rĂ©flexion divague, oĂč je me sens bien, hors de moi » Je pense faire cela dans une dĂ©marche d’optimisation et de perfectibilitĂ©, mais je cours aprĂšs l’insaisissable, les sentiments. Je n’ai qu’un flot de pensĂ©e qui m’emplit et semble se concrĂ©tiser Ă  chaque fois que je me saisis de ce tĂ©lĂ©phone. Bien que les flux de pensĂ©e soient omniprĂ©sents, il n’y a plus magistral que cet instant de plĂ©nitude Ă  chaque fois que le synthĂ© repart »J’ai senti que quelque chose de similaire Ă  un feu de Saint-Elme, une lueur claire et bleutĂ© s’émerveillait en moi. Sa trĂšs brĂšve prĂ©sence Ă©tait resplendissante, lui qui en tant normal est pour les marins de mauvais augure, amenait avec lui de l’euphorie. Au fur et Ă  mesure que la musique, part puis revient, je n’ai vraiment rien de personnel Ă  rapporter de plus que les autres. Papa, Maman, je n’ai rien de plus que les autres, je suis juste un petit garçon reconnaissant pour ce que vous m’avez donnĂ© la vie, et apportĂ©. »C’est une expĂ©rience trĂšs personnelle et trĂšs profonde qui ne peut se reprĂ©senter. Elle est tellement Ă©mouvante que ce n’est pas facile de maĂźtriser, mais je lĂąche prise, et m’efforce Ă  respirer lourdement et Part II H+5hSoudain, nous entendons un vrombissement. On se regarde tous, je lĂąche un je veux bien ĂȘtre complĂštement perchĂ© mais ce n’était pas une hallucination ça ! Effectivement, c’était bien le tonnerre. Fichtre, diantre ! Moi qui avais regardĂ© prĂ©cautionneusement la mĂ©tĂ©o, un orage d’étĂ© s’annonçait. TrĂšs rapidement il se met Ă  pleuvoir Ă  grosse goutes ! C’est la tempĂȘte, les Ă©clairs et le tonnerre se font de plus en plus Ă  du mal Ă  gĂ©rer, il va falloir que l’on bouge, et assez rapidement. Il boit un peu de rosĂ©, mais un peu paniquĂ© choppe une gorgĂ©e de la tequila de ses potes avant de la recracher. -Ce qui est comprĂ©hensible puisque tous nos sens sont exacerbĂ©s, et la Tequila Standard ça a vraiment un gout qui n’est pas des plus softs-. Il est un peu affolĂ©, et pour ne pas arranger le tout, on voit des gens courir au loin pour quitter le parc et aller se mettre Ă  l’abri. J’essaye de lui parler mais il est difficile de communiquer avec lui. Ses potes pensent qu’il faut tout de suite sortir du Parc. Je leur dis qu’il est vraiment prĂ©fĂ©rable que l’on prenne notre temps et que l’on soit mouillĂ©s plutĂŽt que de se retrouver au milieu de plein de gens qui dĂ©tallent de tous les cĂŽtĂ©s. La probabilitĂ© que la situation se produise est beaucoup plus importante que la foudre s’abatte sur un des arbres au-dessus de nous. Dupont arrive Ă  marcher, mais on voit extĂ©rieurement qu’un truc ne vas pas dans la posture, et le regard qu’il tient il a les bras pliĂ©s qu’il tient prĂšs de son torse, et un visage qui fait des mimiques caractĂ©ristiques d’une angoisse marquĂ©e. A 150m avant la sortie du parc, malheur ! On voit une bagnole de la municipale. Je prie pour qu’ils ne nous remarquent pas. On passe Ă  15m d’eux, ils roulent Ă  10km/h, j’ai l’impression de vivre un duel de cowboy. Ils ont les vitres fermĂ©es mais je coupe la musique, et j’essaye de parler Ă  un des potes de Dupont pour ĂȘtre le moins cramĂ© possible. Dans le mĂȘme temps je m’imagine la scĂšne vue de l’extĂ©rieur. Ça doit-ĂȘtre d’une nullitĂ© absolue, voir les municipaux passer Ă  10km/h et nous qui marchons lentement rien de suspect. La vue des diffĂ©rents points de vue dĂ©file aussi briĂšvement que les transitions de la sĂ©rie bref », Ă  mesure que l’on se rapproche de la bagnole de la muni. Ouf ! Ils sont passĂ©s, ils n’ont rien remarquĂ©, j’ai des bouffĂ©es de chaleurs qui redescendent. On aperçoit des Ă©clairs Ă  quelques centaines de mĂštres de nous, et des trombes d’eau s’abattent. Au niveau de la sortie du parc, ses potes veulent prendre le mĂ©tro. J’explique Ă  un de ses potes que vu son Ă©tat il est hors de question de prendre le mĂ©tro, s’en est presque suicidaire. Je lui dis un truc du style Ă©coute, ça ne se voit peut-ĂȘtre pas extĂ©rieurement, mais lĂ  je vois pleins de trucs de fou. Je vois ta tĂȘte comme si j’avais le zoom d’une jumelle modulable sur mes deux yeux. J’arrive Ă  voir le moindre pore de la peau de ton visage en passant par les racines de tes cheveux, jusqu’à la moindre heure de sommeil manquĂ©e que je peux lire sur tes cernes oui j’ai un peu hyperbolisĂ© sur le coup. Donc on prendra le temps qu’il faudra pour rentrer, pluie ou pas, mais lĂ  ce n’est vraiment pas possible de prendre le mĂ©tro ! ».Ses potes s’organisent. 3 sur les 7 prennent le mĂ©tro. Dupont, moi, et 2 de ses potes feront le trajet Ă  pied avec nous. Nous avons 4km environ Ă  marcher. On galĂšre un peu, on passe 3-4 passages piĂ©tons, et c’est good, on est sur les quais ! Il n’y a plus que des piĂ©tons, et c’est de la ligne droite ! Je suis ultra soulagĂ©, surpris et satisfait. SoulagĂ© de ne pas avoir eu de problĂšmes avec les keufs et au passage piĂ©ton, surpris et satisfait de ne pas avoir cĂ©der Ă  la panique, et surtout d’avoir rĂ©ussi Ă  utiliser des fonctionnalitĂ©s nĂ©cessaires lorsque l’extĂ©rieur me sollicite alors que 15minutes auparavant j’étais on ne peut plus high. S’en est presque cathartique !Je rallume l’enceinte une fois sur les quais, je mets un bonne vibe 80’s. A base de Jeanne Mas, a-ha, Berlin, Irene Cara etc
 et c’est parti ! -A ce moment-lĂ  j’ai jubilĂ© d’avoir eu la bonne idĂ©e de prĂ©parer une playlist qui a de la gueule- Une longue marche s’amorce. Dupont est complĂ©tement perchĂ© Ă  ce moment-lĂ , mais il s’est calmĂ©. Un de ses potes lui parle pendant tout le trajet, je jette un coup d’Ɠil par moments, il rĂ©pĂšte littĂ©ralement le moindre mot que son pote lui dit avec une intonation diffĂ©rente. Ce n’est pas terrible comme situation, mais malgrĂ© la pluie il fait 20degrĂ©s donc ce n’est pas trop dĂ©sagrĂ©able, il marche et est moins paniquĂ©. Pour ma part je suis toujours en plein plateau, cependant mes pensĂ©es sont beaucoup plus brouillonnes que lorsque nous Ă©tions dans le parc. Par instant j’ai l’impression de nous voir marcher avec le point de vue d’un traveling latĂ©ral, avec la vue sur le fleuve qui coule juste Ă  cĂŽtĂ©, le tout rythmĂ© par les musiques de cette pĂ©riode dansante que sont les 80’s. Je suis joyeux de juste marcher. Lorsque les backs de certaines instrumentales rĂ©sonnent du style Fire in the Sky Ă  229, j’ai l’impression de me prendre une onde colorĂ©e en pleine tronche, la synesthĂ©sie me fait presque oublier par instant que l’on est sous la pluie. J’avais l’impression de redĂ©couvrir un peu cette ville que je connais comme ma poche de jour et de nuit. L’impression qu’elle nous poussait Ă  avancer, et qu’elle avait de la sympathie pour nous, qui dĂ©ambulions sous l’orage. On passe successivement sous plusieurs ponts, lĂ  des gens attendent que la pluie cesse -je regardais la mĂ©tĂ©o toutes les 15minutes et ce n’était pas prĂšs de s’arrĂȘter-. Ils nous regardaient en se demandant certainement, ce que l’on peut bien avoir dans le crĂąne pour apprĂ©cier marcher lentement sous la pluie, avec de la musique qui a bientĂŽt 40ans. Mais ces instants sous le regard des passants me donnent presque envie de rigoler. J’ai conscience que l’on peut voir sur ma tĂȘte que je ne suis pas dans un Ă©tat normal, j’ai les yeux bleus et mes pupilles remplissent l’intĂ©gralitĂ© de mes yeux. Un des potes de Dupont m’avait signalĂ© que ça se voyait donc je baissais un peu les yeux en passant sous les ponts. Les 4km nous auront pris 2h Ă  arrive Ă  l’appartement d’un des potes de Dupont. LĂ -bas j’enlĂšve mon t-shirt qui est complĂ©tement trempĂ©. On assoit mon pote, lui file une couverture. L’appartement n’était pas l’endroit le plus adĂ©quat pour une descente de L, mais c’était clairement mieux que de rester dans la rue. Dupont a des moments d’absence totale oĂč il repart un peu en plein dĂ©lire Ă  dire qu’il voulait retourner avant, quand c’était mieux », et puis par instant, il arrive Ă  nous rĂ©pondre de maniĂšre raisonnĂ©e. Je ne donnerai pas tous les dĂ©tails parce qu’il y a certains trucs un peu gĂȘnants vis-Ă -vis des comportements qu’il a eus envers lui-mĂȘme, mais il s’est bien excitĂ© dans l’apart, jusqu’à essayer de s’échapper de l’apart, pour rentrer chez lui ». Moi je luttais pour essayer de ne pas partir un bad Ă  ce moment lĂ  parce que je le voyais faire n’importe quoi, et l’apart Ă©tait assez fermĂ© et peu Ă©clairĂ© Ă  cause du mauvais temps. Je relançais sans cesse des musiques entraĂźnantes, jusqu’à balancer de la psytrance alors qu’on Ă©tait assis sur des tabourets, il fallait que je bouge, que je pense Ă  autre chose. Mais honnĂȘtement c’est passĂ© assez vite, je n’avais plus aucune dĂ©formation, ni synesthĂ©sie, et pas de grosse panique ni pensĂ©es H+8HAu bout d’un moment Dupont nous dit qu’il veut vraiment rentrer chez lui, et un de ses potes lui a rĂ©pondu spontanĂ©ment un truc vraiment pas mal qui lui a permit de se raisonner un peu. Tu es sous l’emprise d’une drogue dure -il a dit ça sans laisser apparaitre un quelconque jugement-, ce n’est pas contre toi, mais vu ce que tu nous as fait tout Ă  l’heure, soit tu appelles quelqu’un de confiance qui vient te chercher en bagnole pour te ramener chez toi, soit tu restes ici. » Dupont a rĂ©flĂ©chi 5minutes et dĂ©cide de rester avec nous. Il est bientĂŽt 22h et on commence Ă  crever la dalle. Avec la pluie, on fait au plus simple, un des potes de Dupont, va commander des pizzas juste Ă  cĂŽtĂ©, pendant que l’on reste dans l’appart. J’étais convaincu qu’il fallait que je bouffe et que lui aussi. De la bonne vieille Junk-food, ça aiderait certainement Ă  nous faire redescendre un peu et Ă  nous calmer. Surtout que la sensation d’avoir faim sous L n’est pas des plus agrĂ©ables. C’était loin d’ĂȘtre la meilleure pizza que j’ai bouffĂ©e de ma vie, et j’avais un retour de l’odeur de poppers du tout dĂ©but du trip aucune idĂ©e de pourquoi mais putain, ça faisait un bien fou de se remplir l’estomac !H+9hLes potes de Dupont font une soirĂ©e, on est un peu plus nombreux, environ une dizaine. Dupont a repris tous ses esprits, et moi je me sens pas mal. A un moment je reçois une bonne nouvelle de cotĂ© de mes Ă©tudes, ça me remplit de joie. Je sors dans la cage d’escalier afin de passer un coup de fil Ă  ma mĂšre. Cela m’a un peu retournĂ© Ă©motionnellement, elle m’a dit un truc du style c’est dommage qu’il y ait ce petit truc manquant » alors que c’était une excellente nouvelle. Je vais essayer de dĂ©crire un peu ce qui s’est passĂ© parce que c’était un peu comique et ça m’a fait marrer juste aprĂšs avoir coupĂ© la assez théùtral, alors utilisons des didascalies !MĂšre C’est cool mais c’est dommage qu’il y ait ce petit truc manquant »Moi Ah tu trouves ? Je suis satisfait moi » Ă©prouve de la pitiĂ© qu’elle ne puisse pas ressentir la joie que j’ai euBlanc sur la ligne parce que ça passe mal dans la cage d’escalier - » Moi -Me demande si j’ai Ă©tĂ© emportĂ© par un flux de pensĂ©e pendant ma discussion, ou s’il y a juste eu une coupure 
-Imagine la premiĂšre hypothĂšse-Me rends compte que ce n’est pas possible en regardant la durĂ©e de l’appel -Comprends qu’il y a vraiment eu une coupureMĂšre et moi simultanĂ©ment Allo ? »Moi sursaute - Oui, oui.. »- Je suis dĂ©solĂ© ca passe mal on se rappelle plus tard »Bref je vous la dĂ©cris pour le gag mais c’était assez sens que je ne vais pas tarder Ă  aller chopper le mĂ©tro, histoire de pas rentrer trop tard aprĂšs cette Ă©prouvante journĂ©e. Je conseille Ă  Dupont de faire attention Ă  la descente de MD qu’il risque d’encaisser la semaine prochaine, et de bien penser Ă  se supplĂ©menter en magnĂ©sium. Je m’assure auprĂšs de ses potes, qu’ils ne le laissent pas rentrer n’importe comment, et j’y vais !H+10hSur le chemin entre le mĂ©tro et la oĂč je crĂšche, je regarde mon tel, Ă  un moment j’entend un claquement qui se superpose Ă  mes pas, je me retourne brusquement et tombe nez Ă  nez avec une paki et son mec 2m derriĂšre, elle explose de rire. J’ai eu une demi seconde de sursaut. Je ne comprends pas ce qu’ils foutent, mais ils ne sont pas le produit de mon imagination ça c’est une certitude ! Je reprends ma marche en accĂ©lĂ©rant le pas. Une 100aine de mĂštres plus loin je me retourne Ă  nouveau pour les regarder, je pense qu’ils Ă©taient simplement ivres parce qu’ils ne marchaient pas trĂšs droit et parlaient assez fort. -DĂ©cidĂ©ment ce jour lĂ  j’en ai vu des vertes et des pas fois arrivĂ©, je me prends une douche, je bouffe 2-3 lĂ©gumes qui trainent dans le frigo. Puis essaye de me coucher. Les souvenirs de ma journĂ©e réémergent, le feu de Saint-Elme, la marche sous la pluie, Dupont qui panique. Je n’arrive pas Ă  trouver les bras de morphĂ©e, des boucles de questions tournent dans ma tĂȘte ai-je vĂ©cu ce que l’on peut qualifier d’expĂ©rience mystique ? Je n’en sais rien, mais ce dont je suis sĂ»r c’est que les psychĂ©dĂ©liques sont dĂ©finitivement des substances porteuses de crĂ©ativitĂ© spirituelle. Elles initient et augmentent les probabilitĂ©s d’une rĂ©ussite dans la quĂȘte d’une et fin de la descenteLes ressentis les plus tumultueux sont arrivĂ©s vers 2-3h du matin, cela devait venir Ă  un moment ou un autre. Les quelques pensĂ©es dĂ©sagrĂ©ables qui agrĂ©mentaient mes derniĂšres semaines viendraient forcĂ©ment se promener Ă  un moment dans ce trip. J’ai conscience que ce n’est que passager et j’essaye de relativiser au maximum. Les pensĂ©es qui sont le miennes Ă  cet instant tout le monde en a, et c’est normal, je suis de retour progressivement dans la rĂ©alitĂ©. Je repense Ă  ce qui est arrivĂ© Ă  Dupont, un de ses potes m’a dit qu’à un moment il ne se souvenait mĂȘme plus de son prĂ©nom en plein trip et voici exactement ce que j’ai Ă©crit sur le moment Je pense que tu as Ă©tĂ© pris dans un grand flux, prenant, intense et exaltant, mais que tu as voulu trop vite partager. DĂšs que cela redescendait tu culpabilisais de ne plus rien avoir Ă  transmettre et Ă  partager Ă  tes potes. Sauf qu’avec ce que tu as Ă©prouvĂ© quelques secondes/minutes auparavant, tu n’avais pas envie de leur dire que tu n’avais rien ressenti la seconde qui venait juste de s’écouler. Alors tu t’es auto-persuadĂ© dans le flou de l’excitation de voir trĂšs fort des choses. Le truc c’est que le LSD c’est trĂšs puissant, donc si en plus de tripper normal, tu t’imagines trĂšs fort et trĂšs Ă©motionnellement des choses elles peuvent apparaitre. Sauf que cela est super difficile Ă  contrĂŽler et cela gĂ©nĂšre vite des vagues insaisissables, qui t’ont fait poursuivre sur ta lancĂ©e et aller trĂšs loin. DĂšs que dans les moments plus difficiles, le monde extĂ©rieur te sollicitait, tu revenais Ă  ce qu’il y avait de plus basique en comportement et mode de pensĂ©e -quand il imitait mot pour mot son pote-. Ça a fini par faire un peu l’inverse de l’effet cherchĂ© en fin de compte la recherche de nouvelles sensations et rĂ©flexions, du moins c’est l’aperçu que ça donnait extĂ©rieurement, alors qu’a l’intĂ©rieur je suis persuadĂ© que ca devait ĂȘtre un truc de fou pour toi
 »H+15h4h du matin, la transition se fait calmement, et je comprends alors que ma nuit de pseudo-sommeil est finie. Je me dirige lentement mais surement vers l’afterglow. Je suis remplie d’un sentiment de tendresse envers tout et n’importe quoi. MĂȘme envers moi-mĂȘme me dire qu’aujourd’hui je vais manger healthy, prendre soin de moi et que ce soir je ne me couche pas trop tard histoire de bien me retaper. MalgrĂ© le manque de sommeil et l’activitĂ© physique un peu intense de la veille je me sens en forme. Je n’ai pas de fatigue, mes paupiĂšres Ă©taient on ne peut plus lĂ©gĂšres. Tout l’inverse du speed quand on est sous speed, et que le speed masque la fatigue, les yeux veulent se fermer, pendant que le cerveau lui est Ă  200% en arriĂšre-plan. LĂ , mon attention Ă©tait volatile, un peu comme un gosse qui regarde partout, ou la fragrance d’un parfum par une chaleur d’étĂ©. NĂ©anmoins, lorsque je faisais l’effort, j’arrivais sans problĂšme Ă  maintenir ma concentration sur un Ă©lĂ©ment. Une sensation physique de bien ĂȘtre un peu comme lorsque l’on a bu la veille, suffisamment pour le sentir le lendemain, mais pas assez pour avoir la gueule de bois. Sauf qu’ici aucun brain-fog comparable Ă  celui associĂ© Ă  l’alcool. Cet Ă©tat de plĂ©nitude s’est poursuivi jusqu’aux environ de 14h, soit exactement 24h aprĂšs la prise. H+27hLe trip est complĂštement fini, des amis me contactent pour savoir si je suis partant pour aller manger un bout avec eux et discuter. J’accepte et je ressors dans cette ville, qui le jour prĂ©cĂ©dent, Ă  contribuer Ă  me faire vivre une expĂ©rience hors du commun, et que j’ai maintenant l’impression de vraiment mieux connaitre. Par prĂ©caution je prends un masque si jamais je pique du nez histoire de pouvoir me poser et dormir. Je parle de mon expĂ©rience Ă  mes amis, qui Ă©coutent en me prenant plus ou moins au sĂ©rieux. L’ambiance est cool, on va se poser sur des quais. Pas les mĂȘmes que la veille mais non loin de lĂ . LĂ -bas, je m’allonge, mets mon masque et roupille Ă  1m du fleuve, tout en Ă©coutant les discussions de mes amis, qui ont bien lancĂ© leur soirĂ©e Ă  l’alcool. Je ne souhaitais pas boire et gĂącher ce magnifique enchainement d’heures qui se succĂ©daient, sans accro. De tout façon avec ou sans alcool, la fatigue finira par me siffler dans les oreilles pour m’avertir qu’il est l’heure d’aller dormir ! C’est ce que je fis aux alentours de fait plus de 40heures que je n’ai pas dormi. Good night !Petit debrief du trip Au-delĂ  de l’aspect lĂ©gislatif, j’ai l’intime conviction que tout le monde dans sa vie devrait avoir au moins une fois le droit de vivre ce genre d’expĂ©riences. -Oui, oui, mĂȘme les fake-spirituals qui ponctuent leurs photos avec 3 filtres, de citations minables sur l’ñme, la conscience et la synesthĂ©sie-. Nous avons tous Ă©normĂ©ment Ă  apprendre et Ă  dĂ©couvrir des que j’adore chez les lysergamides/ tryptamines, ils sont authentiques, pas artificiel comme de la C ou de la MD dans les sensations qu’ils produisent. Et je les trouve beaucoup moins Ă©goĂŻstes que les opiacĂ©es en tous genres, qui certes, enveloppent dans du coton et font dormir Ă©veillĂ©, mais ne laissent pas de place Ă  l’environnement, ni Ă  l’état dans lequel on est pour s’exprimer. Moins mindfuck que des dissos comme de la Ketamine ou du DXM, on garde un assez bon contact avec l’environnement pour pouvoir l’apprĂ©cier. Vous l’aurez compris je suis dithyrambique sur le sujet, mais ces molĂ©cules ont une vocation, lorsqu’elles sont correctement exploitĂ©es, Ă  rĂ©vĂ©ler un potentiel enfoui en temps normal, au plus profond de vous avez poursuivi votre lecture jusqu’ici, je pense que cela est soit par respect pour mon rĂ©cit dans ce cas je vous en remercie grandement, ou que vous ĂȘtes intĂ©ressĂ© par le sujet des psychĂ©dĂ©liques. Si tel est le cas, je ne peux que vous inviter Ă  bien vous renseigner sur ces substances, qui sont loin d’ĂȘtre anodines. Je vous conseille le livre Voyage aux confins de l’esprit de ou encore la lecture de cette thĂšse d’Apothicaire, qui traite de l’usage des hallucinogĂšnes dans l’intĂ©rĂȘt de la santĂ© publique 
 faut que je retourne faire un footing au parc. Pour l’instant, je ne ressens pas le besoin de tripper Ă  nouveau. Ce trip ma comblĂ© pour un certain temps. MĂȘme aprĂšs rĂ©flexion, il y a des choses pour lesquelles il est trĂšs difficile de trouver une interprĂ©tation -et qui n’en ont certainement pas-, je n’ai pas l’intention de me forcer Ă  en trouver une.
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[Verse 1]Like the sand can seep right through your fingers so can all your daysAs those days go by you'll have me there to help you findThe way I feel with you I know it's got to last forever[Chorus]And when the rain begins to fallYou'll ride my rainbow in the skyAnd I will catch you if you fallYou'll never have to ask me whyAnd when the rain begins to fallI'll be the sunshine in your lifeYou know that we can have it allAnd everything will be alright[Verse 2]Time goes by so fastYou've got to have a dreamTo just hold onAll my dreams of love beganWith the reality ofYou and I believeThat all our dreams will last forever[Chorus]And when the rain begins to fallYou'll ride my rainbow in the skyAnd I will catch you if you fallYou'll never have to ask me whyAnd when the rain begins to fallI'll be the sunshine in your lifeYou know that we can have it allAnd everything will be alright[Bridge]Though the sun may hideWe still can seeThe light that shines for you and meWe'll be together all that we can be[Chorus]And when the rain begins to fallYou'll ride my rainbow in the skyAnd I will catch you if you fallYou'll never have to ask me whyAnd when the rain begins to fallI'll be the sunshine in your lifeYou know that we can have it allAnd everything will be alright[Chorus]And when the rain begins to fallYou'll ride my rainbow in the skyAnd I will catch you if you fallYou'll never have to ask me whyAnd when the rain begins to fallI'll be the sunshine in your lifeYou know that we can have it allAnd everything will be alrightHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum
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